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lysiane:j_ai_l_assurance_de_mon_salut

J'ai l'ASSURANCE de mon SALUT !

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Oui, merci mon Seigneur et mon Dieu.
Yeshoua Emmanuel (Jésus) m’a racheté par Son sang.
Par la foi et mon obéissance à Le suivre dans les eaux du baptême.
Je suis née d’eau et d’esprit, et devenue Ton enfant par adoption.
Je suis dans Ton shalom et désire faire Ta volonté conduite par l’Esprit Saint.
Veiller, prier, louer avec actions de grâces et amour !
Merci pour tant d’amour et de miséricorde.
Gloire, au Père au Fils à l’Esprit Saint !

L’étude précédente sur le ‘’baptême d’eau’’ démontre les vérités enseignées par Jésus (Yeshoua) et confirmées par les apôtres,
sur la régénération de mon ancienne nature humaine.

Dieu me voit au travers de Jésus (Yeshoua) et je suis devenue une créature merveilleuse car je suis baptisée du Saint Esprit.
Je suis Son enfant par grâce, selon la promesse faite à Abraham.

Attention à ce que vous écoutez et regardez à gauche et à droite !
Mais je constate qu’il n’y a rien de nouveau,
car déjà l’apôtre Paul était obligé de rappeler les fondements aux disciples de Jésus (Yeshoua) :
- ‘’Êtes-vous tellement dépourvus de sens?
Après avoir commencé par l'Esprit, voulez-vous maintenant finir par la chair?’’

Je ne suis pas dépourvue de sens et je refuse de me laisser égarer,
je confesse les promesses qui me sont accordées en tant que disciple du Messie !
Je connais également mes devoirs… (études précédentes)

  • Voyons l’exhortation de l’apôtre Paul aux Galates, chapitre 3 :

3:1 O Galates, dépourvus de sens! qui vous a fascinés, vous, aux yeux de qui Jésus Christ a été peint comme crucifié?
3:2 Voici seulement ce que je veux apprendre de vous:
Est-ce par les œuvres de la loi que vous avez reçu l'Esprit, ou par la prédication de la foi?
3:3 Êtes-vous tellement dépourvus de sens?
Après avoir commencé par l'Esprit, voulez-vous maintenant finir par la chair?
3:4 Avez-vous tant souffert en vain? si toutefois c'est en vain.
3:5 Celui qui vous accorde l'Esprit, et qui opère des miracles parmi vous, le fait-il donc par les œuvres de la loi,
ou par la prédication de la foi?
3:6 Comme Abraham crut à Dieu, et que cela lui fut imputé à justice,
3:7 reconnaissez donc que ce sont ceux qui ont la foi qui sont fils d'Abraham.
3:8 Aussi l'Écriture, prévoyant que Dieu justifierait les païens par la foi,
a d'avance annoncé cette bonne nouvelle à Abraham: Toutes les nations seront bénies en toi!

3:9 de sorte que ceux qui croient sont bénis avec Abraham le croyant.
3:10 Car tous ceux qui s'attachent aux œuvres de la loi sont sous la malédiction; car il est écrit:
Maudit est quiconque n'observe pas tout ce qui est écrit dans le livre de la loi, et ne le met pas en pratique.
3:11 Et que nul ne soit justifié devant Dieu par la loi, cela est évident, puisqu'il est dit: Le juste vivra par la foi.
3:12 Or, la loi ne procède pas de la foi; mais elle dit: Celui qui mettra ces choses en pratique vivra par elles.
3:13 Christ nous a rachetés de la malédiction de la loi, étant devenu malédiction pour nous-car il est écrit:
Maudit est quiconque est pendu au bois, -
3:14 afin que la bénédiction d'Abraham eût pour les païens son accomplissement en Jésus Christ,
et que nous reçussions par la foi l'Esprit qui avait été promis
.
3:15 Frères (je parle à la manière des hommes),
une disposition en bonne forme, bien que faite par un homme, n'est annulée par personne, et personne n'y ajoute.
3:16 Or les promesses ont été faites à Abraham et à sa postérité.
Il n'est pas dit: et aux postérités, comme s'il s'agissait de plusieurs,
mais en tant qu'il s'agit d'une seule: et à ta postérité, c'est-à-dire, à Christ.
3:17 Voici ce que j'entends:
une disposition, que Dieu a confirmée antérieurement, ne peut pas être annulée, et ainsi la promesse rendue vaine,
par la loi survenue quatre cents trente ans plus tard.
3:18 Car si l'héritage venait de la loi, il ne viendrait plus de la promesse;
or, c'est par la promesse que Dieu a fait à Abraham ce don de sa grâce.
3:19 Pourquoi donc la loi?
Elle a été donnée ensuite à cause des transgressions, jusqu'à ce que vînt la postérité à qui la promesse avait été faite;
elle a été promulguée par des anges, au moyen d'un médiateur.
3:20 Or, le médiateur n'est pas médiateur d'un seul, tandis que Dieu est un seul.
3:21 La loi est-elle donc contre les promesses de Dieu? Loin de là ! S'il eût été donné une loi qui pût procurer la vie,
la justice viendrait réellement de la loi.
3:22 Mais l'Écriture a tout renfermé sous le péché,
afin que ce qui avait été promis fût donné par la foi en Jésus Christ à ceux qui croient
.
3:23 Avant que la foi vînt, nous étions enfermés sous la garde de la loi, en vue de la foi qui devait être révélée.
3:24 Ainsi la loi a été comme un pédagogue pour nous conduire à Christ, afin que nous fussions justifiés par la foi.
3:25 La foi étant venue, nous ne sommes plus sous ce pédagogue.
3:26 Car vous êtes tous fils de Dieu par la foi en Jésus Christ;
3:27 vous tous, qui avez été baptisés en Christ, vous avez revêtu Christ.
3:28 Il n'y a plus ni Juif ni Grec, il n'y a plus ni esclave ni libre, il n'y a plus ni homme ni femme;
car tous vous êtes un en Jésus Christ.
3:29 Et si vous êtes à Christ, vous êtes donc la postérité d'Abraham, héritiers selon la promesse.

  • Commentaire du dictionnaire biblique sur cet épître de Paul :

Ce ministère de la loi, pour amener les hommes à Christ, n’a jamais cessé ; car si Paul ajoute :
nous ne sommes plus sous ce pédagogue, c’est en parlant de ceux pour qui véritablement la foi est venue.
Il est toujours, même sous l’Évangile, des multitudes qui n’en sont point encore là, pour qui la foi n’est pas venue,
qui, au contraire, se trouvent, comme les Israélites de l’ancienne alliance, à l’état d’enfants, (Galates 4:1-2)
en qui doit s’accomplir encore le ministère de la loi pour les amener à Christ
.
Toutes les phases successives de l’histoire du règne de Dieu se reproduisent simultanément,
à chaque époque, dans les divers états d’âme.

« Car tous, vous êtes fils de Dieu, en Christ Jésus, par la foi ».
Tous, tant Juifs que païens, en sorte que ni les uns ni les autres ne sont plus sous le pédagogue :
pourquoi donc vous, Juifs, voudriez-vous y ramener vos frères convertis du paganisme ?
En s’adressant de nouveau directement à ses lecteurs, tandis que jusqu’ici il n’avait parlé que des Juifs,
il leur applique tout ce qu’il vient de dire et en tire les conclusions (versets 26-29).
Si l’apôtre appelle encore fils de Dieu des chrétiens auxquels il vient de faire de tels reproches, (verset 1 et suivants)
c’est dans la supposition exprimée au verset suivant,
et pour autant qu’ils ne sont point déchus de la foi en Jésus-Christ, malgré leurs erreurs
.

Revêtir Christ, c’est devenir tellement un avec lui, que sa justice nous enveloppe tout entiers, et que sa vie soit notre vie :
en sorte que Dieu ne nous voie plus, nous, pécheurs, mais son Fils en nous et nous en lui.
Cela seul donne à l’âme l’assurance et la paix pour paraître un jour devant le Saint et le Juste
.

Mais comment peut-il dire que tous ceux qui ont été baptisés ont revêtu Christ, puisqu’il s’en faut tant que le baptême soit efficace en tous ?
Ne parait-il pas absurde d’unir ainsi la grâce du Saint-Esprit à un signe extérieur ?
Je réponds : Paul parle des sacrements de deux manières différentes :
s’il a affaire à des hypocrites qui se glorifient de vaines cérémonies, il prêche le vide et le néant de ces choses extérieures,
et il attaque vigoureusement cette fausse confiance.
Pourquoi ? parce qu’alors il regarde, non à l’institution divine, mais à l’abus des impies qui la corrompent.
Tandis que lorsqu’il s’adresse à des croyants qui usent des symboles comme ils le doivent, il joint aux signes la vérité qu’ils représentent.
Pourquoi ? Parce que Dieu ne nous montre pas dans les sacrements une pompe trompeuse,
mais il nous communique en même temps la chose même que le symbole représente.
Dès lors, selon l’institution de Dieu, la réalité est unie aux signes.
Si quelqu’un objecte que, par le péché des hommes, le sacrement peut n’être plus en réalité ce qu’il représente, la réponse est facile :
les impies ne sauraient ôter aux sacrements leur nature, ni leur efficace, quoique eux-mêmes n’en retirent aucun fruit.
Les sacrements offrent aux bons comme aux méchants la grâce de Dieu, et ce n’est pas pour tromper qu’ils promettent la grâce du Saint-Esprit :
les fidèles reçoivent ce qui est offert;
les impies, en le repoussant, le rendent inutile quant à eux, mais ils ne peuvent empêcher ni Dieu d’être fidèle,
ni la signification des sacrements d’être vraie et réelle.
Ainsi l’apôtre ne transporte pas au signe ce qui n’est propre qu’à Dieu, et cependant il constate la force des sacrements,
afin que nul ne les prenne pour de vains et froids spectacles. (comparer sur la doctrine du baptême Romains 6.3-11)
En insistant sur la réalité et l’efficace de cette institution du baptême (et de la cène) pour n’en pas faire « un vain et froid spectacle »,
il faut se souvenir que Paul ne lui attribue cette profonde signification que pour des hommes qui, avant de recevoir le baptême,
avaient été amenés, par la prédication de l’Évangile, à la connaissance du Sauveur, à la foi en lui
;
sans cela on tombe dans l’erreur opposée, on fait du baptême et de la puissance de régénération qui lui est attribuée une œuvre magique,
un opus operatum, transférant à l’acte en lui-même
ce qui ne peut être qu’une œuvre de la puissance et de la grâce de Dieu, et que la foi seule peut s’approprier.

C’est là la conclusion de tout ce que l’apôtre a prouvé, (versets 15-28) c’est un regard qu’il jette en arrière sur sa démonstration :
les faux docteurs prétendaient que ceux-là seuls étaient la postérité d’Abraham, qui, entrant par la circoncision dans l’alliance ancienne,
observaient toutes les prescriptions temporaires de la loi.
Paul a montré que, dans ce cas, il y aurait plus d’une postérité d’Abraham, puisque la promesse, qui certainement en a créé une,
a été donnée longtemps avant la loi (versets 15-18).
Il a prouvé ensuite par le but de la loi, qu’elle ne changeait rien aux dispositions que Dieu avait prises par la promesse,
puisque la loi n’était qu’un moyen préparatoire, éducateur, pour amener à Christ, en qui n’existent plus de différences (versets 19-28).
Il n’y a donc qu’une seule postérité d’Abraham, celle de la promesse, parfaitement accomplie en Jésus-Christ (verset 29).

  • L’apôtre Paul confirme l’évangile ‘’la bonne nouvelle’’ enseigné par Jésus :

- la prédication du salut par grâce pour devenir enfant de Dieu et disciple de Jésus (Yeshoua).
- que celui-ci est obtenu par la foi,
par celui qui accepte le Messie ‘’mort à la croix et ressuscité pour le pardon des péchés’’ comme Sauveur et Maître de Sa vie.
- la repentance,
- le baptême d’eau et d’esprit.

Ils ont entendu la bonne nouvelle, et vu des miracles, des prodiges et l’action du Saint Esprit parmi eux.
- une partie des disciples avait vécu sous la loi et l’autre partie en tant que païens.
C’est toujours le cas de nos jours, avant d’accepter Jésus (Yeshoua) nous étions païens et vivions comme le monde !

4:3 Nous aussi, de la même manière, lorsque nous étions enfants, nous étions sous l'esclavage des rudiments du monde;
4:4 mais, lorsque les temps ont été accomplis, Dieu a envoyé son Fils, né d'une femme, né sous la loi,
4:5 afin qu'il rachetât ceux qui étaient sous la loi, afin que nous reçussions l'adoption.
4:6 Et parce que vous êtes fils, Dieu a envoyé dans nos cœurs l'Esprit de son Fils, lequel crie: Abba! Père!
4:7 Ainsi tu n'es plus esclave, mais fils; et si tu es fils, tu es aussi héritier par la grâce de Dieu.
4:8 Autrefois, ne connaissant pas Dieu, vous serviez des dieux qui ne le sont pas de leur nature;
4:9 mais à présent que vous avez connu Dieu, ou plutôt que vous avez été connus de Dieu,
comment retournez-vous à ces faibles et pauvres rudiments, auxquels de nouveau vous voulez vous asservir encore?

  • Paul explique également que pour être fils d’Abraham, il faut lui ressembler spirituellement.

Les vrais enfants d’Abraham ce sont ceux qui sont de la foi,
ceux dont la vie est née de la foi, ceux qui sont constamment inspirés et dirigés par elle.

Par la bénédiction promise à Abraham et héritée par les croyants,
l’apôtre entend toutes les grâces de l’Évangile,
car cette bénédiction consiste à être justifié par la foi.
Devenus des enfants de Dieu par la foi, revêtus de Christ par le baptême,
il n’y a plus de distinction
de nationalité, de religion, de rang, de sexe, mais tous ceux qui sont à Christ,
sont les vrais enfants d’Abraham et héritiers de la promesse.


Le baptême d’eau
est la démonstration de mon obéissance à Dieu, à suivre Jésus (Yeshoua) pour devenir Son disciple.
Par cet acte de foi, l’Éternel Dieu établit Son alliance avec moi.

C’est le début de ma vie nouvelle conduite par Jésus (Yeshoua),
pour me laisser transformer, afin de parvenir à la sanctification comme Il me le demande.
Par la foi et l’obéissance,
je me laisse enseigner, éduquer, transformer et je n’oublie pas Sa promesse
«Il est toujours auprès de moi», ainsi je me laisse conduite par Son Esprit.

Pour parvenir au but,

Marchons comme Paul :

Philippiens 3:8 à 15
… Et même je regarde toutes choses comme une perte, à cause de l'excellence de la connaissance de Jésus Christ mon Seigneur,
pour lequel j'ai renoncé à tout, et je les regarde comme de la boue, afin de gagner Christ, et d'être trouvé en lui,
non avec ma justice, celle qui vient de la loi, mais avec celle qui s'obtient par la foi en Christ, la justice qui vient de Dieu par la foi,
Afin de connaître Christ, et la puissance de sa résurrection, et la communion de ses souffrances, en devenant conforme à lui dans sa mort,
pour parvenir, si je puis, à la résurrection d'entre les morts
.
Ce n'est pas que j'aie déjà remporté le prix, ou que j'aie déjà atteint la perfection; mais je cours, pour tâcher de le saisir,
puisque moi aussi j'ai été saisi par Jésus Christ.
Frères, je ne pense pas l'avoir saisi; mais je fais une chose: oubliant ce qui est en arrière et me portant vers ce qui est en avant,
je cours vers le but, pour remporter le prix de la vocation céleste de Dieu en Jésus Christ.

Nous tous donc qui sommes parfaits, ayons cette même pensée; et si vous êtes en quelque point d'un autre avis, Dieu vous éclairera aussi là-dessus.
2 Timothée 4:7-8
J'ai combattu le bon combat, j'ai achevé la course, j'ai gardé la foi.
Désormais la couronne de justice m'est réservée
;
le Seigneur, le juste juge, me le donnera dans ce jour-là, et non seulement à moi, mais encore à tous ceux qui auront aimé son avènement.

Écoutons Jésus (Yeshoua) :

Apocalypse
3:21 Celui qui vaincra, je le ferai asseoir avec moi sur mon trône,
comme moi j'ai vaincu et me suis assis avec mon Père sur son trône.
7:14 Et il me dit: Ce sont ceux qui viennent de la grande tribulation;
ils ont lavé leurs robes, et ils les ont blanchies dans le sang de l'agneau.
22:14 Heureux ceux qui lavent leurs robes,
afin d'avoir droit à l'arbre de vie, et d'entrer par les portes dans la ville
!


Colossiens 2:6 à 15

Ainsi donc, comme vous avez reçu le Seigneur Jésus Christ, marchez en lui, étant enracinés et fondés en lui,
et affermis par la foi, d'après les instructions qui vous ont été données, et abondez en actions de grâces.
Prenez garde que personne ne fasse de vous sa proie par la philosophie et par une vaine tromperie,
s'appuyant sur la tradition des hommes, sur les rudiments du monde, et non sur Christ.
Car en lui habite corporellement toute la plénitude de la divinité.
Vous avez tout pleinement en lui, qui est le chef de toute domination et de toute autorité.
Et c'est en lui que vous avez été circoncis d'une circoncision que la main n'a pas faite,
mais de la circoncision de Christ,
qui consiste dans le dépouillement du corps de la chair
:
ayant été ensevelis avec lui par le baptême, vous êtes aussi ressuscités en lui et avec lui,
par la foi en la puissance de Dieu, qui l'a ressuscité des morts.
Vous qui étiez morts par vos offenses et par l'incirconcision de votre chair,
il vous a rendus à la vie avec lui, en nous faisant grâce pour toutes nos offenses;
il a effacé l'acte dont les ordonnances nous condamnaient et qui subsistait contre nous,
et il l'a détruit en le clouant à la croix;
dépouillé les dominations et les autorités, et les a livrées publiquement en spectacle,
en triomphant d'elles par la croix
.


Chant :
La bande joyeuse.
A. F. 486 - Texte de Blanche Levieux

1. La bande joyeuse des petits enfants, souriante, heureuse, entonne ses chants.
Une ardeur nouvelle brille dans leurs yeux; Pleins d'un nouveau zèle, chantons avec eux.
2. Remplis d'espérance, joignons nos efforts; C'est l'obéissance qui nous rendra forts.
Cherchons la sagesse loin des faux plaisirs; Combattons sans cesse les mauvais désirs.
3. O notre bon Père, qui nous vois des cieux, reçois la prière de nos cœurs joyeux;
Que ta seule crainte règne en nous, Seigneur, et que ta loi sainte soit notre bonheur.

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prochaine étude: promesses faites à Abraham et sa foi ! et nous les disciples du Messie ?

lysiane/j_ai_l_assurance_de_mon_salut.txt · Dernière modification : 11/02/2020 14:00 de Lysiane Boyanique

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